RENCONTRES DE RESEAU SANTE MENTALE -
PERSONNES AGEES
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PORTEUR DU
PROJET : Plate-forme de concertation en santé mentale du Brabant wallon |
STRUCTURE
JURIDIQUE :
A.S.B.L. |
ADRESSE :
Boucle des
Métiers 21
1348 Louvain-la-Neuve |
TELEPHONE :
010/41.69.01 |
TELECOPIE :
010/45.49.09 |
COURRIEL :
plateformesmbw@tiscalinet.be |
CORRESPONDANT POUR
L’ACTION :
Françoise Duesberg |
FONCTION DU
CORRESPONDANT :
Coordinatrice
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CO-PORTEURS DU
PROJET (EN CAS DE PARTENARIAT) :
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PRESENTATION
GENERALE DE LA STRUCTURE PORTEUSE :
La Plate-forme de
concertation regroupe les services psychiatriques hospitaliers, les S.S.M.
et les I.H.P. du Brabant wallon.
Dans ses groupes
de travail et ses différents projets, elle collabore avec des services hors
du champ de la santé mentale.
Actuellement,
outre l’initiative présentée ici, la Plate-forme mène entre autres les
activités suivantes :
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Recensement des lieux de rencontre, d’entraide et de solidarité en Brabant
wallon
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Réseau « Dépendances », en particulier avec les intervenants travaillant
avec les adolescents et jeunes adultes
-
Projet « santé mentale en prison »
-
Rencontres avec des professionnels de l’enfance
-
Etc.
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TERRITOIRE COUVERT
PAR L’ACTION :
L’ensemble du
Brabant wallon, dans différentes zones (proximité).
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PROBLEMATIQUE QUI
A ENTRAÎNE L’ACTION :
Le projet est
parti de différents constats :
-
les
personnes âgées souffrant de troubles de la santé mentale sont très peu
prises en charge par les structures de santé mentale, notamment
ambulatoires ; ce qui peut aboutir à des hospitalisations en catastrophe ;
-
les
intervenants de première ligne se sentent démunis dans leur travail avec des
personnes âgées souffrant de troubles de la santé mentale ; ils manquent de
ressources, de lieux d’échange, de relais, de formation, etc.
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ATTENTE POLITIQUE
DU MINISTRE QUANT A CETTE PROBLEMATIQUE (REPEREE LORS DE LA FORMALISATION DU
PARTENARIAT AVEC CELUI-CI, EN CAS DE SOUTIEN DE SA PART, DE VOTRE ACTION) :
Elaboration progressive
d’un réseau « Personnes âgées » partant des pratiques de terrain et
favorisant l’articulation entre la première, la deuxième et la troisième
ligne.
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DEBUT DE
L’ACTION :
Le projet a débuté
sur fonds propres en janvier 2000 ; financement de la Région wallonne de
2001 à 2003.
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% DE REALISATION
EN TERME DE DUREE :
La troisième et
dernière année se termine.
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DECLINAISON DU
PROJET :
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Le
projet a débuté par des formations sur la santé mentale des personnes âgées
à l’intention des intervenants de première ligne.
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A la
demande des participants aux formations, des séances mensuelles d’intervisions
ont été organisées dans les zones est (Jodoigne), centre (Ottignies-LLN) et
ouest (Tubize). Elles avaient pour but d’aider les intervenants par rapport
à des situations complexes et étaient animées par des personnes-ressources
en fonction du problème abordé.
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Progressivement, nous sommes passés de la notion d’intervision à celle, plus
large, de « rencontres de réseau » remplissant des fonctions multiples :
aide par rapport à des situations cliniques, formation sur différents
thèmes, lieu de parole et d’échange, etc. En 2002-2003, les rencontres
étaient organisées une fois par mois dans six lieux différents.
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METHODOLOGIE D’EVALUATION :
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Evaluation régulière par questionnaires anonymes (questions ouvertes et
fermées).
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Evaluation périodique au sein des groupes.
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Une
matinée commune d’évaluation en juin 2002.
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Une
matinée d’évaluation finale aura lieu le 3 octobre 2003.
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EVALUATION :
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Les
évaluations sont très positives (en juin 2002 : 87 %) et les participants
demandent à 94 % que le projet soit poursuivi.
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Un
nombre croissant de services participent au projet. Les services et les
professions représentés sont très variés. Le projet ne s’épuise pas : il
n’y a pas de fléchissement de la participation, bien au contraire, même
après trois ans.
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Grande variété également des personnes-ressources invitées.
Un réseau se tisse
peu à peu entre les intervenants de première ligne et les spécialistes
invités.
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PERENNISATION :
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Par
le biais d’une mission spécifique « réseau personnes âgées » confiée à un
S.S.M.
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Par
les participants eux-mêmes qui, dans certaines implantations, vont
poursuivre les rencontres.
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REPRODUCTIBILITE :
Oui, à
condition de tenir compte des spécificités sociologiques locales.
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OBSERVATION :
Dans un tel projet, tous (psychiatres, psychologues,
assistantes sociales, infirmières, aides familiales, juristes, médecins
généralistes, kinés, etc.) apprennent les uns des autres.
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